Partie 1 – Introduction : le début d’une passion
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Le parcours d’Aidy
Aidy a commencé tôt à envisager une vie sur les bancs de touche. À l’âge de 19 ans, il obtient sa première licence d'entraîneur à Huddersfield. Son passage à la Fédération Anglaise de Football constitue un étape importante de sa carrière, qui lui a permis d'approfondir ses connaissances.
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Sources d’inspiration
Les exploits de l’Angleterre à la Coupe du Monde de la FIFA, Italie 1990™, à l’EURO 1996 de l’UEFA™ et à l’EURO 2020 de l’UEFA™ont motivé Aidy a laisser sa marque dans le monde du football. Aidy a de nombreux modèles et s’inspire dans sa pratique de ce que chacun d’entre eux a apporté de meilleur.
Partie 2 – Être entraîneur
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L’entraîneur d’aujourd’hui
Si le rôle d’un entraîneur varie en fonction du niveau auquel il évolue, pour Aidy, la composition de l’équipe et le recrutement des joueurs sont deux composantes essentielles du travail d’un entraîneur principal. Tout club de haut niveau dispose d’un excellent système de recrutement, d’un parcours de formation de première qualité et d’un entraîneur qui ose faire jouer les plus jeunes.
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Les défis de l’entraîneur d’aujourd’hui
Les réseaux sociaux et les médias peuvent être sources de difficulté pour un entraîneur. Il faut quelqu’un de solide qui arrive à rester concentré sur le football malgré toutes ces distractions. À travers la multitude d'opinions qui fleurissent sur les réseaux sociaux, l’entraîneur doit savoir faire la part des choses.
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Les constantes et les évolutions à venir
Les compétences relationnelles seront toujours nécessaires, car il faut apprendre à connaître la personne derrière le joueur. Une diversité d’opinions et de compétences au sein de l’équipe encadrante est aussi un atout. Parmi les évolutions des prochaines années, une façon différente de recruter ainsi que la nécessité de travailler avec ses dirigeants et de gérer l’aspect médiatique sont à prévoir.
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Les entraîneurs novateurs
Selon Aidy, Pep Guardiola, Jürgen Klopp, Chris Wilder et les équipes Red Bull sont à la pointe de l'innovation à l'heure actuelle. Il y a mille et une façons de jouer et les évolutions tactiques sont permanentes. Peu importe l’époque, l’important est d’oser aller à contre-courant de temps à autre. Le centre, par exemple, a perdu en popularité, mais pourrait revenir dans le jeu sous une nouvelle forme.
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Ce qu’un entraîneur doit garder à l’esprit
Un entraîneur doit écouter les autres spécialistes au sein de son encadrement technique. Ceux-ci doivent travailler en étroite coopération avec l'entraîneur, les kinésithérapeutes et l’équipe médicale. Il est également crucial d’assurer une cohérence entre le recrutement, l’entraînement et le style de jeu.
Partie 3 – Encadrer
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Les qualités d’un joueur
Pour Aidy, un bon joueur se distingue par son caractère et son amour du jeu. Il faut aussi qu’il apprécie le travail en équipe. Sa progression dépendra de sa volonté de devenir meilleur.
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Un leadership efficace
Un bon encadrant doit absolument savoir écouter les joueurs et ses adjoints s’il veut parvenir à établir une meilleure compréhension mutuelle et, sur cette base, à renforcer leur motivation.
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La méthode d’Aidy
Aidy se voit comme un entraîneur ouvert, blagueur et attaché à la stabilité. Il insiste sur l’importance de travailler dur et d’entretenir une cohésion entre lui-même, le reste de l'encadrement technique et les joueurs. Cet effort collectif fait toute la différence. C’est notamment de cette manière qu’Aidy a aidé Watford à se hisser en Premier League anglaise.
Partie 4 – Motiver les joueurs
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Motiver les joueurs et le staff
Pour motiver les joueurs, Aidy recommande de s’intéresser à leur identité, à leur passé et à leur relation personnelle au football, ce qui leur procure du plaisir sur un terrain.
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L’environnement des joueurs
Dans le football, tous les membres d’un groupe doivent être au fait des objectifs collectifs. Par exemple, si l’objectif est de terminer parmi les quatre premiers, chacun doit s’y atteler.
Partie 5 – Entraîner un club et entraîner une sélection nationale
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Quelles différences ?
La différence de temporalité entre les deux fonctions est l’une des plus notables. Avec une équipe nationale, on entraîne les joueurs seulement pour une période déterminée alors qu’avec un club, on y travaille toute l’année ou presque. En outre, on se retrouve au niveau national avec des joueurs qui ont des styles de jeu différents et il est essentiel de faire en sorte qu’ils adoptent un style commun.
Partie 6 – Ce que l’avenir réserve
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Les prochaines tendances tactiques
Aidy fait remarquer que l’histoire du football est cyclique et que certaines tendances d’aujourd’hui ne sont pas si nouvelles. C’est en étudiant le passé que l’entraîneur peut prédire de quelles tactiques l’avenir sera imprégné.
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Le joueur idéal dans 10 ans
Le caractère d’un joueur et son envie de progresser resteront des éléments déterminants. Mais les joueurs devront aussi faire face aux exigences physiques d’une saison de 12 mois. L'efficacité technique sera également cruciale. Enfin, le niveau d’analyse tactique prendra une importance croissante.
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L’entraînement dans 10 ans
Aidy se réjouit du niveau de diversité que présente le football anglais et de la profusion de joueurs techniquement talentueux. Le niveau global de jeu aura augmenté. Les exercices visant à reproduire au maximum des situations de match sont déterminants pour atteindre les objectifs que l’on se fixe.
Je pense qu’il faut que tout soit cohérent : le recrutement, l’entraînement et le style de jeu.